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À l’initiative de la Fondation Botnar, des professionnels de la santé mentale, des jeunes leaders et des chercheurs ont discuté de l’impact des environnements urbains sur la santé mentale et le bien-être des jeunes dans The Lancet et intitulé «Why Cities Matter for Adolescent Mental Health and Wellbeing». Les coauteurs de ce commentaire comprennent Nicole Bardikoff, directrice adjointe, Santé mentale dans le monde, à Grands Défis Canada, et le conseiller jeunesse Sweetbert M. Anselimus, directeur général de la Psychosocial Welfare Organization de la Tanzanie.

Neuf sur dix des 1,2 milliard d’adolescents dans le monde vivent dans un pays à revenu faible ou intermédiaire (PRFI). C’est pourquoi il est crucial de s’attaquer aux problèmes de santé mentale des jeunes pour leur bien-être. Ce commentaire explore comment la vie urbaine présente des possibilités et des défis pour la santé mentale des adolescents. Les villes offrent des possibilités économiques, des liens interpersonnels et des perspectives de développement personnel. Toutefois, elles peuvent aussi présenter des risques, tels qu’une incidence accrue de troubles de santé mentale, une concentration de la pauvreté, un faible capital social et la ségrégation sociale.elles peuvent aussi présenter des risques, tels qu’une incidence accrue de troubles de santé mentale, une concentration de la pauvreté, un faible capital social et la ségrégation sociale.

D’ici 2030, on prévoit que la moitié de la population urbaine dans le monde aura moins de 18 ans. En outre, les PRFI devraient contribuer à 90% de cette expansion démographique. L’état des environnements urbains dans le monde a un impact significatif sur le bien-être des jeunes. C'est pourquoi il est primordial de donner la priorité aux villes conviviales pour les jeunes.